Clarté du matin

Parfois, les mots sont de trop. Surtout en peinture où l’image devrait se suffire à elle-même. L’image parle par résonance jusqu’au plus abstrait de soi tandis que les mots, ficelés dans un son et une graphie, limitent et enferment leur contenu. Bien qu’abrégés, ce sont des bavards qui viennent perturber notre regard méditatif. Car cette…